Obiecte Zburatoare

C o n t e n u

2.1   Pourquoi la Terre est-elle vide a l'interior?
2.2   Pourquoi? - La surface interieur de la Terre est-elle illumine toujours par le soleil.
2.3   Arguments Scientifiques - Pourquoi? – L'axe de rotation de la Terre est-il incline et pourquoi, les jour alternent avec les nuits ainsi que les saison sur la surface interieure de la Terre, se succedent de maniere cyclique et a des intervales donnes.
2.4   Arguments scientifiques - Pourqui? - Les pôles magnétiques ne se trouvent pas sur l'axe de rotation de la Terre.
2.4.1   Pourquoi les corps sur la surface intérieur de la Terre ont le meme poids que les corps se trouvant sur la surface extérieure de la Terre.
2.4.2   Porqui au pôles, en fonction des saisons, sur les marges intérieures des orifices d'entrée de pres de 2000 Km de diametre, le climat est chaud et apparaissent egalement les nuits polaires.
2.4.3   Arguments scientifiques - Preuves de la Terre vide - par les preuves avec les vieilles notes.
2.4.4   Arguments scientifiques - Preuves de la Terre vide, des inscriptions et notes plus recentes.
2.4.5   Arguments scientifiques - La theorie de la Terre creuse (telle qu'elle a été mentionnée dans d'autres publications)
2.4.6   Autres arguments scientifiques - Portant sur la theorie de la terre creuse.
2.4.7   Arguments scientifiques - A travers des decouvertes geographiques -
2.4.8   Arguments scientifiques - par la carte de Piri Reis - .
2.4.9   Temoignages incommodes concernant la configuration reele de la Terre.
2.4.10   D'autres arguments scientifiques - Pourquoi l'axe de la Terre est inclinee par rapport du plan de son orbite eliptique avec 23 degres et 27 minutes.
2.4.11   Des Arguments scientifiques - Pourquoi l'aiguille de la boussole n'indique pas la position du nord geographique.
2.5   Arguments scientifiques - Pourqui a ete necessaire la construction de pyramides et longues tunnels souterains de centaines de milles de kilometres longueur
2.5.1   Arguments scientifiques - Le reseau souterain de tunnels du Perou et Ecuador
2.5.2   Arguments scientifiques - D'autres reseaux de tunnels et galerie similaires sur la Terre -
2.5.3   Arguments scientifiques - Les pyramides dans le monde et leur vrai but (recueil extrait d’autres publications - commentaire)
2.6   Arguments scientifiques - Pourquoi, jusqu'a present, on n'a pas pu apprendre d'ou decollent la plus part des OVNIS
2.7   Arguments scientifiques - Pourquoi les avions et les bateaux disparaissent dans le triangle des Bermudes et au Japon.
2.8   Arguments scientifiques - L'Atlantide engloutie?
2.9   Arguments scientifiques - Pourquoi sur la colline Magura Bacaului (Roumanie) - Les voitures montent seules

2.5.3 ARGUMENTS SCIENTIFIQUES – LES PYRAMIDES DANS LE MONDE ET LEUR VRAI BUT (recueil extrait d’autres publications - commentaire)

       Un autre élément se trouvant dans une liaison étroite avec les réseaux de tunnels et galeries souterraines le représente les pyramides, des constructions présentes sur toute la Terre, sans aucune exception. Une analyse détaillée du mode dans lequel est réalisé partout l’ensemble de ces deux éléments, résultat d’une science et d’une technologie supérieure, relève un aspect particulièrement intéressant : des réseaux de tunnels et galeries peuvent être associées à des circuits énergétiques, et les pyramides peuvent accomplir aussi bien le rôle d’un foyer d’énergie cosmique, que celui des véritables „balises”, destinées à signaler l’emplacement des entrées en souterrain.

            Qu’est-ce que les constructeurs des pyramides ont-ils envisagés exactement ?

            D’une manière usuelle on considère qu’il s’agit de „simples” monuments funéraires.

            On doute fort que la Grande Pyramide d’Egypte a été érigée du granite apporté de loin, de Sirène, seulement pour cacher un seul cadavre couvert dans une toile de lin.

            On a peiné et on a transporté très durement, au feu brûlant du soleil africain, plus de 2,62 millions de mètres cubes de pierre seulement pour satisfaire le caprice d’un roi ? On a assemblé soigneusement 2.3 millions d’immeubles, chacun pesant au moins 2,5 tonnes, seulement pour couvrir le corps d’un pharaon?

COMMENTAIRE

      A remarquer que l’auteur du livre, respectivement Os. Kuhlen a compris cette fois-ci avec exactitude que l’emplacement des pyramides est fortement lié aux entrées souterraines comme des véritables „balises” de signalisation mais il ne fournit pas plusieurs explications concluantes sur le but et le vrai rôle essentiel aussi des pyramides et des immenses réseaux de galeries souterraines et qu’au fait celles-ci ne sont pas en réalité seulement des simples „balises”, mais offre très rapidement après leur grandeur, forme extérieure, l’emplacement par rapport aux points cardinaux, la grandeur de la surface plane de leur sommet, - des informations très utiles liées aux voies de communication souterraine.

En France, à deux kilomètres de Falicon (village se trouvant près de Nice), s’élève la montagne Cau. La zone est loin d’être déserte ou thébaïde. Malgré cela, ceux qui ont vu cette pyramide ne sont pas nombreux.

            Celle-ci a été découverte en 1804 par Rossetti, un italien de Turin et n’a pas les dimensions de celles d’Egypte, mais elle est aussi énigmatique. Le monument réalisé par de grands blocs de pierre, cimentés avec un agglomérant inconnu, s’élève aux environs 100 mètres du sommet de la montagne, dont les pentes abruptes ont déterminé l’inégalité des arêtes de la construction. A la partie est s’érige une porte haute de 2,50 m, sur le fronton duquel se trouvait jusqu’en 1921, un svastika, le symbole sacré des jaïnistes.

      Les côtés principaux de la pyramide ont 6,60 m, le sommet n’existe pas, la hauteur initiale a été estimée à 9 mètres. C’est un monument très modeste, plutôt un amas de pierres, mais l’édifice cache quelques surprises : à la base de la porte s’ouvre largement, la gorge sombre d’un aven profond d’approximativement 15 m.

            En descendant dans l’aven on arrive dans une salle de grandes dimensions (20 m en diamètre et 5-10 m la hauteur), dont le toit s’appuie sur une colonne centrale qui provient, apparemment, d’une très vieille stalactite. Dans la partie est de cette vraie cathédrale souterraine, sept marches taillées en pierre amène vers une plate-forme qui a été, probablement, naguère, une sorte d’autel. Au fond de la salle existe deux puits verticaux, dont l’un est rempli avec des bouts de rocher, et l’autre, profond d’environ 8 m, a été pour la première fois exploré par un groupe de spéléologues à peine en 1927.

            Il finit par une crevasse, qui, à son tour, pénètre dans le sol environ 10 m. On arrive après à une petite plate-forme d’argile, d’où, en latéral, s’ouvre d’autres failles vers les profondeurs de la montagne. En poursuivant la descente, les explorateurs ont découvert avec surprise une nouvelle salle, plus grande que la première (30 m longueur x 20 m hauteur), au milieu de laquelle se trouvait une autre pyramide (20 m la base x 10 m la hauteur). Cette fois-ci, l’édifice semble avoir une origine naturelle, car il est formé des bouts de rocher, en état brut, qui, d’après certaines opinions, se sont détachés du plafond de la grotte et sont tombés sur le sol, tel le sable d’une clepsydre. C’est sûr que la forme générale de la tertre a été ajustée, et le lieu a été utilisé pour une très longue période.

          Sur des grandes surfaces, les murs de la caverne sont noircis par la suie et le charbon, la couche des dépôts arrivant parfois à 2 cm d’épaisseur. Malheureusement, personne n’a essayé de vérifier depuis quand date ce ballast. Par contre, autour de l’année 1922, un certain Gothland, se basant sur certaines dates traditionnelles, considérées comme étant le fondement de la pyramide, mais qu’il a refusé de les dévoiler, a estimé que l’âge de la pyramide est de 4335 ans.

Conformément aux affirmations faites par Sorin Ştefănescu dans le travail „Le défi du Temps”, bien que certains chercheurs considèrent que la datation semble exagérée, l’appréciation de Gothland étant, de toute façon douteuse, il existe quand même un détail qui pousse à réfléchir, même s’il se trouve en contradiction avec cette évaluation : le village le plus proche et le plus ancien de la région porte le nom de Gaina (bizarre ressemblance avec la montagne Găina de Roumanie).

            Pas il y a très longtemps, les registres du cadastre indiquaient une appellation un peu modifiée: Jain ou Jaina, qui nous fait penser au nom d’une population hindou, le jaïnisme, dont le symbole de croyance a existé, certainement, sur le pignon de la porte, jusqu’en 1921 ! Seraient-ils des simples coïncidences ?

COMMENTAIRE

            Il est très évident que le choix ou mieux dire le marquage des voies d’accès en double sens au souterrain, a été fait de sorte qu’on a tenu compte de la forme de relief (cette montagne) qui naturellement facilite la détection facile d’un observateur se trouvant dans un avion, des entrées vers les galeries de communication avec la grande surface intérieure de la terre qui demeure encore inconnue pour nous.

      Sans doute que si on étudiait plus minutieusement ce qui se cache en réalité sous la pyramide souterraine apparaîtront plusieurs surprises.

            Une telle recherche doit être faite en connaissance de cause et en premier lieu tenant compte des indications de la boussole, parce qu’au cas où l’autre entrée dans les tunnels faisant face à la surface intérieure de la terre serait encore par hasard non-protégée, il est fort possible qu’il s’active instantanément certains champs de force magnétique en ce point sous l’influence concomitante de ces deux pôles magnétiques de la Terre (si auprès il y a des gisements minéraux le phénomène peut s’amplifier naturellement très rapidement) et ceux qui participeront à l’élimination et à l’ouverture de l’ancienne voie de communication pourraient se confronter avec des phénomènes imprévus (exemple: ce brouillard verdâtre avec des distorsions en espace et en temps, etc.)

    Sur la pente de la montagne Briscou, à un kilomètre d’Autun, s’élève un édifice semblable à celui de Falicon. C’est un peu plus grand (17 m la base et 27 m la hauteur) et, chose extrêmement intéressante, a été construit au-dessus d’un aven. Suite aux amples investigations, un spécialiste a constaté que les architectes anonymes ont adopté une solution rencontrée seulement pour les vieux monuments mexicains : une combinaison de pyramides creusées, rangées les unes sur les autres. Malheureusement, le puits, dont l’entrée s’ouvre sous la base de l’édifice, n’a pas encore été exploré.

          COMMENTAIRE

            Catégoriquement dans cette zone ont existé il y a très longtemps, des liaisons directes entre les deux surfaces habitables de la Terre.

            Au moment où les archéologues et les hommes de science en agissant prudemment et en connaissance de cause commenceront à explorer attentivement les voies de communication directe en souterrain, seulement à ce moment précis nous commencerons à comprendre vraiment quelque chose en liaison avec le vrai environnement, nous commencerons à nous rendre compte qu’on sait trop peu de choses par rapport aux choses inconnues qui nous entourent continuellement.

Le plus grand gain pour l’humanité sera quand la raison triomphera vraiment et on renoncera définitivement aux conceptions erronées concernant l’origine et l’évolution de l’homme qui ne nous ont pas permis d’évoluer. Affirmer encore officiellement que „des primitifs” qui marchaient à quatre pattes (comme des descendants des singes) ont réalisé tant avec leurs outils rudimentaires et ont été capables de construire des voies de communications souterraines de centaines de kilomètres en longueur etc. représente une erreur inadmissible pour les hommes de science respectivement pour les savantes de l’entière humanité en se rapportant au stade de développement qu’on a atteint.

            Les fouilles archéologiques effectuées en 1921 par le suédois  Anderson, autour du village Yang Shao-ts'un, la province Pan-p'o Shensi, du nord de Honan/Chine, ont mené à la découverte des détritus des abris ayant un aspect particulier. On suppose qu’ils datent du néolithique tardif et elles sont rondes, tronconiques, avec des diamètres de 3-5 m et foyer central et étaient, probablement, des habitations pour une seule famille. La plus grande structure, avec les dimensions de 10 x 11 m2, se trouve au milieu du village et a une forme pyramidale.

            R. Charroux affirme qu’au Shanxi, à environ 70 km sud-ouest de Xian, se trouve la deuxième pyramide comme grandeur du monde.

            Le chiffre véhiculé est vraiment étonnant : 300 m hauteur ! A la différence de la pyramide Cholula (Mexique), la seule qui la dépasse en grandeur, qui couvre en fait la montagne, l’édifice de Shanxi semble être entièrement artificiel. Chaque côte de la construction était colorée en harmonie avec les points cardinaux vers lesquels elle est orientée : nord-noir, sud-rouge, est gris bleu, ouest-blanc, et le sommet – entièrement jaune. La Pyramide est datée, avec incertitude et précaution, pendant la dynastie Hsia, c’est-à-dire il y a 4000 ans.

COMMENTAIRE

            Lorsqu’on examinera attentivement, d’après ce que j’ai affirmé, alors on découvrira sûrement le vrai rôle de la construction de ces édifices, respectivement, le rôle de véritable "balises" qui marquent aussi les lieux d’emplacement des voies d’accès à la surface extérieure vers la surface intérieure de la Terre par des galeries souterraines aménagées seulement dans certains lieux, comme dans des zones où les conditions naturelles rendent plus facile et permettent la construction des véritables tunnels de communication comme la signalisation du fait que notre planète est habitée par des être intelligents aussi sur sa surface intérieure.

            En ce qui concerne le choix de ces voies d’accès, celles-ci n’ont pas été faites seulement en fonction des nécessités temporaires des zones plus restreintes mais elles ont été construites ou aménagées dans les grottes déjà existantes en profondeur, toutes seulement avec le respect strict des lois de notre physique connue, en premier lieu la loi de l’attraction universelle des corps.

     Conformément à cette loi élémentaire mais universelle de la physique, sûrement ces galeries souterraines (tunnels) ont été creusées surtout au début seulement entre deux zones de surface où d’une part et d’autre se trouve un terrain sec et qu’il n’y ait pas des accumulations d’eau (lacs, mer ou océans).

            En deuxième lieu on a eu en vue que ces tunnels soient creusés auprès et autour des grands gisements minéraux et autour des accumulations de matière d’une très grande densité.

            Le but réel suivi a été celui que ces grandes agglomérations de matière d’une densité plus grande exercent une attraction zonale plus grande sur chaque hypothétique observateur ou véhicule se trouvant à un moment donné dans la zone respective.

            Ainsi, bien qu’en rapport avec la surface extérieure de la terre la galerie respective descende continuellement avec une pente (grande inclinaison) l’observateur ou un moyen de transport ne pourra saisir cette descente abrupte parce que celui-ci sera attiré plus vers la zone de matière avec la densité la plus grande lui laissant la fausse impression qu’il se déplacerait sur un chemin presque horizontalement et même le niveau d’eau (la règle de niveau avec des boules d’air) ou le classique fil de plomb utilisé en construction montera à l’hypothétique observateur qu’il se trouve sur une surface horizontale parce que le niveau d’eau indiquera une surface plane et le fil de plomb sera attiré perpendiculaire sur la surface respective, respectif dans la direction de la résultante de toutes les forces d’attraction composées sur la règle du parallélogramme de composition des forces des manuelles de physique.

            Pour mieux comprendre, le classique fil de plomb utilisé en construction pour la détermination correcte de la verticalité, dans la zone respective du tunnel qui entoure le gisement respectif, la résultante des influences de toutes les forces d’attraction zonale déterminera l’orientation (l’attraction du fil de plomb) perpendiculaire sur l’axe longitudinal du tunnel respectif, bien qu’en réalité le positionnement de ce dernier face à la surface plane de la Terre sera autour de la valeur de 90 degrés.

            En réalité, l’axe longitudinal réel du tunnel respectif, en rapport avec le plan horizontal de la surface de la terre descendra parfois verticalement sans que l’observateur qui circule sur le tunnel respectif puisse saisir cela, à cause du phénomène d’attraction latéral du coté de l’agglomération de la matière avec une densité considérablement plus grande trouvé à l’approche de la galerie respective, l’observateur ayant continuellement l’impression qu’il est attiré dans la direction de la terre sur laquelle il marche et qu’il se déplace sur un chemin horizontal ce qui dans la réalité vue et connue ou mieux dire à partir de la surface plane de la Terre, - est complètement faux, - mais très utile pour la construction de ces courtes voies de communication entre les deux surfaces habitable de la Terre qui sont illuminées continuellement par le même Soleil.

Comparativement ce serait comme si un brin de poussière se maintenait attiré par un mur vertical dû à la force d’attraction locale (zonale) qui devient prépondérante en rapport avec la force d’attraction de la Terre en général, grâce aux priorités des distances (la maintenance de l’attraction du brin de poussière restant visible et rémanente sans que l’attraction puisse être due à l’électrisation statique, -passagère).

Cette propriété d’action de la force d’attraction zonale (comme résultante après la composition de toutes les forces d’influence zonale conformément à la règle du parallélogramme de composition des forces des manuels de physique) a été sûrement connue par les vieilles civilisations qui nous ont laissé comme témoignage et héritage ces véritables œuvres d’art et constructions d’ingénierie si ingénieux et pratiques du fait que les liaisons directes par des voies de communication souterraines pourront être effectuées et ont été effectuées avec des moyens de communication soutenus sur des roues ou voies de roulage (des chemins comme des passages souterrains) il y a des centaines d’années auparavant (ex. on a découvert une bougie auto d’une ancienneté très grande ou traces de pas d’homme pétrifiées de centaines d’année, etc.).

            Des consignations faites au long du temps il résulte qu’évidemment la dernière civilisation de surface, qui pourrait se servir de ces voies de communication a été la civilisation d’Atlantide mais la construction de ces voies de communication a été faite conformément aux essais et aux témoignages de nature matérielle et regardé du point de vu technique, avec beaucoup de temps avant (exception faisant l’usage de celles-ci par les inca par exemple comme des dépôts des biens, des valeurs culturelles ou aliments à la découverte occasionnelle de ces galeries souterraines construites beaucoup de temps avant ces civilisation plus anciennes).

            Il est à supposer que cette fois-ci, après le grand cataclysme d’il y a environ 12 milles ans, les habitants de la surface intérieure de la Terre (nos prédécesseurs nous rendent visite de temps en temps avec leurs formidables objets volants de type OVNI) soient obligés de faire acte de leur présence par des „grandes balises" comme une stricte nécessité de leur co-existence au niveau planétaire ou galactique et qu’ils soient contraints de travailler avec les chefs des populations aborigènes d’il y a environ 4-5 milles ans pour ne pas être "dérangés" dans leur activité, et pour leur remercier ils les ont construit dans les pyramides même des tombeaux somptueux et à juste mesure tant comme une récompense mais surtout qu’au fil du temps celles-ci seront considérées comme des lieux sacrés contre la profanation et respectivement la destruction en leur assurant une méthode de conservation très grande dans le temps, nous restant comme témoignage et en nous aidant de connaître notre descendance et la vraie origine de l’homme, comme une création de la divinité.

Il est aussi à supposer que les atlantes rescapés retirés sur la surface si ensoleillée, grande et belle de l’intérieur de la Terre ensemble avec les autres nations indigènes se trouvant déjà sur place prirent la décision d’ériger une nouvelle pyramide où de les refaire les pyramides de la surface extérieure et comme suite à l’effondrement totale suite au cataclysme d’il y a environ 12000 ans quand l’Atlantide a été engloutie ensemble avec les vieilles pyramides (y compris les vieilles voies de communication) des grandes pyramides qui reposent maintenant comme témoignage sur le fond de l’océan comme épreuves matérielles assez évidentes de ceux que nous avons comme témoignage des civilisations anciennes et qui conformément à ces épreuves étaient beaucoup plus supérieurs à nous du fait qu’ils avaient atteint un stade de développement très élevé respectivement un stade de développement plus avancé par rapport à ce qu’on connaît et nous avions réussi à comprendre et connaître jusqu’à cette date.

Il est aussi évident que grâce au stade de développement de la population autochtone (de l’Egypte par ex.) de ce temps là (avec des connaissances techniques très modestes) celle-ci n’aurait pas compris grande chose en dépit des explications en dehors de „chars de feu volants” ou „divinités” comme on a consigné ou on a dessiné sur les murs ce qu’ils ont vu à l’heure respective et certains desseins ou gravures sont restés jusqu’à nos jours.

Au Cambodge, dans l’ancienne cité Angkor on retrouve quelques pyramides de grandes dimensions. Sur elles, les légendes des indigènes mentionnent qu’elles ont été construites soit par des géants, soit par Pra-Eun, le prince des anges.

Les premiers colonisateurs de la zone centrale et du midi des Etats Unis ont retrouvé des tertres et des pyramides en triangle sur les vallées Mississippi et Ohio et sur toutes les cours d’eau de Midwest et de la région du golf. La plus grande structure artificielle des Etats Unis, d’après l’opinion des spécialistes, est la monticule du parc national Cahokia Mounds, située en Collinsville/Illinois, qui couvre 6,5 hectares et est aussi haute qu’un bâtiment de 10 étages. La colline est d’argile et a la forme d’une pyramide, et les côtes de la base sont d’environ 300 x 230 m2.

En dépit des efforts des chercheurs, personne ne peut encore dire qui et pour quelle raison l’a édifiée. Auraient-ils appartenu, les inconnus constructeurs à la même culture comme ceux qui, il y a 4000 ans, ont bâti la colline pyramidale (haute de 50 m) Silbury Hill, proche de Wiltshire/Angleterre?

COMMENTAIRE

            C’est bien de retenir que cette grande pyramide comme une véritable „balise de signalisation” n’a pas été érigée artificiellement sans un but bien déterminé, comme investissement coûteux sans un but anticipé et très bien justifié de point de vue technique, économique comme objectif majeur de stricte nécessité (et même pour les possesseurs des techniques plus avancées du point de vue technologique), mais ils ont érigée cette pyramide afin de tracer artificiellement l’entrée dans des importantes voies de communication entre les deux surfaces de la Terre comme liaisons et échanges permanentes entre deux mondes ou nations de cette grande et encore peu connue planète (qui continue de cacher plusieurs secrets).

D’autres étaient plus petites et servaient, probablement, comme aménagements funéraires. Certains avaient des formes d’animaux, pendant que d’autres constituaient des plats-formes hauts pour les temples disparus. Le monticule du serpent proche du Louden/Ohio est la plus grande représentation d’un serpent du monde entier, les mâchoires largement ouvertes mesurant 18 mètres longueur. Une partie des constructions semblent être des plats-formes individuels pour des groupes des bâtiments ou même des villes entières protégées avec des murs de terre.

Docteur James Ford, du Musée Américain d’Histoire Naturelle, en se referant aux dimensions du village-monticule de Poverty Point/Louisiana, datant entre les années 1300 et 200 avant Jésus Christ, a calculé que celui-ci a un volume de 35 fois plus grand que celui de la Grande Pyramide égyptienne.

            En 1987, on a découvert dans la province Morona-Santiago d’Ecuador, des édifices préhistoriques qui s’étendent sur les versants d’un volcan actif. Le complexe est impressionnant : des centaines de pyramides de pierre hautes de six mètres, ayant des bases rectangulaires avec des côtés de 30 x 15 m2, sont disposées tout au long de plusieurs allées.    

Un ensemble semblable a été identifié, toujours en 1987 au Pérou aussi, proche de Tucume, province Lambayeque. 

Un ensemble semblable a été identifié, toujours en 1987 au Pérou aussi, proche de Tucume, province Lambayeque. Surnommé ”ville des pyramides”, il couvre une surface d’approximativement 220 hectares. Les hautes pyramides de 30-40 mètres flanquent des allées et de grands marchés. L’ancienneté, estimée à base des nombreux artefacts trouvés dans la zone (masques d’or et des objets divers, dont la destination n’est pas encore convenue), a été datée il y a deux milles ans.

La pyramide de Teopantzolco présente un aspect inédit : cachée jusqu’à la moitié dans une fossé ayant la forme d’une forme rectangulaire en pierre, a les murs presque verticaux. Les deux marches principales,

Les deux marches principales, parallèles, sont séparées d’une rampe large, qui créent l’impression que le monument est construit par l’incorporation de deux édifices symétriques, que l’architecte a introduit dans une boîte. Sur l’une des marches on a découvert des traces de tenture rouge, et sur l’autre une tenture bleue. Comme on le sait, dans la tradition de certains peuples, les deux couleurs représentent des forces/énergies de sens opposées, mais la même symbolisation est utilisée souvent de nos jours.

COMMENTAIRE

            La pyramide de Teopantzoloco peut représenter symbolique qu’elle „marque” une voie de communication beaucoup plus directe probablement dans la zone on trouve latéralement un grand gisement minéral qui a permis aux constructeurs de construire naturellement des galeries sur deux voies de circulation (des marquages avec des couleurs différentes des marches, des couleurs qui se retrouvent encore de nos jours) respectivement la voie bleue étant celle qui pénètre à la surface extérieure de la Terre vers la surface intérieure de la Terre et la couleur rouge marque l’arrivée de la surface intérieure de la Terre (exactement comme aux signes de circulation de sens unique ou sens interdit de nos jours).

Je suis fermement convaincu qu’après avoir exploration et découverte des entrées, il est assez possible et logique que les choses se passent de cette manière en réalité aussi. De point de vue technique il est possible qu’en fonction de la structure interne de la matière trouvée entre les deux surfaces habitables qu’on rencontre (conformément à la suggestion de la forme extérieure de la pyramide avec les murs presque verticaux, la base de la pyramide commençant de la base d’une „boîte rectangulaire”) avec une situation plus spéciale.

Ainsi, si la matière a une structure plus homogène et s’il y a un tunnel qui continue verticalement et en ligne droite (alors les influences des forces d’attraction tout autour du tunnel conformément à la règle du parallélogramme de la physique des compositions des forces – la résultante de celles-ci se trouve continuellement sur l’axe vertical du tunnel respectif) alors il est assez facile et avec des dépenses matérielles et énergétiques on peut se déplacer (circuler) d’une part à l’autre de cette manière;

On amenage tout d’abord les lieux respectifs (c’est à dire sous les pyramides respectifs) une grande salle comme des véritables quais de métro plus spéciales (similaires comme architecture et ventilation).

On construit des portes d’entrée dans les tunnels (puits verticaux) aux deux têtes, respectivement l’une à partir de la surface extérieure et l’autre de la surface intérieure de la terre, synchronisées de telle manière qu’elles ne soient jamais ouvertes simultanément.

     Contrairement, apparaissent tant les phénomènes complexes de magnétisation simultanée comme points d’interférence sous l’influence de deux pôles magnétiques de la Terre (où la boussole indique simultanément le nord et le sud en fonctionnant incorrect ou pas du tout).

            Dans cette situation apparaît plus claire la dangereuse circulation de l’air dans le tunnel en vue d’égaliser les deux pressions atmosphériques conformément aux valeurs saisonnières et qui dans la majorité des cas (conformément aux conditions climatiques qui peuvent être différentes dans ce moment), il résulte naturellement des tendances d’attraction dans le tunnel par l’absorption „le vidage” soit des courants d’air sous une faible pression avec l’apparition simultanée du „brouillard vert si connu" ou "des nuages laiteux" et comme conséquence, - des distorsions en espace et temps, etc.

Tant dans la situation de l’absorption et dans la situation d’une pression atmosphérique élevée, et d’une part et de l’autre, les portes d’entrée sont dimensionnées de résister aux pressions spécifiques (alors les murs très épais, en fonction de la grandeur de la section du tunnel respectif) parce qu’évidemment les forces qui en résultent sur la surface (section) respective peuvent avoir des valeurs très grandes.

            La circulation dans les tunnels (puits verticaux) peut se réaliser ainsi sur une voie naturelle parce que tout corps tomberait librement dans un tel tunnel, il continuerait d’agrandir sa vitesse en accélérant continuellement jusqu’à la zone médiane entre la surface extérieure et la surface intérieure de la terre, après quoi, marche sur l’erre, celle-ci continuera son chemin dans le tunnel, mais en freinant (il apparaît un ralentissement) parce que celui-ci commence à „monter” vers la surface intérieure de la Terre.

"Monte" parce que la force d’attraction change le sens conformément à la loi d’attraction universelle des corps, le corps respectif continuant à réduire à fur et à mesure sa vitesse jusqu’à ce qu’il arrive à l’autre porte d’entrée de la surface intérieure de la Terre où il sera freiné et bloqué.

Ainsi que, d’une façon très naturelle, et sans aucune consommation d’énergie, les corps de nature matérielle peuvent arriver par ces tunnels d’une partie à l’autre ce qui est fantastiquement favorable de point de vue pratique.

La situation la plus difficile pour la construction de ces voies de communications (puits verticaux) apparaît lorsqu’on les construit à l’approche de cette zone médiane où à un moment donné sur un corps s’exercent les influences de deux forces opposées, où un hypothétique observateur, indifféremment du côté où il voudra se diriger, il devra „monter” vers l’une des surfaces indifféremment s’il se dirige vers la surface extérieure de la Terre ou il se dirige vers la surface intérieure de la Terre, celui-ci étant pratiquement „figé” dans cette zone.

            Pour ces raisons, la construction de ce genre de tunnels peut être faite seulement à l’aide des techniques avancées de commandes à distance des outils mécanisés avec propulsion mécanique (électromécanique) par l’alimentation avec énergie de l’une des surfaces intérieures ou extérieures de la Terre en fonction de qui est plus intéressé et dispose de la technologie respective dans une certaine période de temps ou on choisit d’avance que cette zone médiane soit située entre deux grandes agglomérations de matière avec grande densité sur les parties latérales de telle sorte que la résultante des forces d’attraction zonale diminue dans un sens ou un autre cette "immobilité".

             Du fait que la civilisation de la surface intérieure de la Terre a été depuis toujours et aura toujours une technologie plus avancée, et trouvera bon de signaler toujours sa présence sur la Terre, il est logique que ”eux" aussi s’occupent de la réalisation de ces voies de communication plus directes par lesquelles ils apporteront plus facilement des outils modernes et la force de travail en vue de la construction de grandes pyramides comme des véritables "balises de signalisation" observées aisément hors de la planète par un hypothétique observateur se trouvant dans l’espace cosmique dans un objet volant par exemple.

            Si on se guide d’après certaines observations de certains objets volants consignés dès le 19ème siècle, quand les observateurs ont vu l’apparition sur le ciel des objets volants d’une forme plus bizarre et plus rudimentaire je pourrais affirmer que le décalage technologique entre nous et „eux” serait de seulement 100-200 ans mais comme sur l’entière surface intérieure de la Terre peuvent cohabiter plusieurs nations, nations entre lesquelles peuvent exister des exceptions dans le sens de la possibilité de l’existence des groupes plus restreints mais avec un développement technologique plus avancé, il résulte logiquement que la différence „technologique et culturelle” entre nous et „eux” peut être plus grande.

            Tout de même si on tient compte qu’on a commence déjà à rentrer dans une phase de la connaissance et du progrès qui change chaque année, (ex. seulement le progrès en informatique et téléphonie mobile) on peut apprécier sans avoir peut de se tromper qu’à l’avenir proche, on pourra devenir "des partenaires" de dialogues directes avec les nations de la surface intérieure de la Terre.

Malheureusement, à cause des conditions naturelles (l’effacement de tout signal de nature électromagnétique, ex. ondes radio et télé par les puissants champs magnétiques des deux pôles magnétiques de la Terre) bien que les orifices sont immenses comme grandeur des deux pôles de la Terre (environ deux milles kilomètres en diamètre) par lesquels la surface extérieure se prolonge vers la surface intérieure de la Terre, nous, nous n’avons pas pu et ne pouvons pas saisir „leur” présence comme des „cohabitants” de la Terre et ni „eux” jusqu’à ce moment-ci n’ont pas essayé de nous contacter directement en se limitant à surveiller d’une façon permanente nos progrès et notre évolution en intervenant seulement dans des cas de stricte nécessité (ex. l’effacement continue des mémoires des ordinateurs de bord de certaines bases souterraines de raquettes intercontinentales, la collecte et le nettoyage de l’espace cosmique de „nuages” d’aiguilles de cuivre lancés dans l’atmosphère dans la période de la guerre froide, etc.)

            Au moment où accidentellement, comme il arrive dans la zone Triangle des Bermudes lorsque s’ouvre temporairement d’une manière naturelle l’orifice de passage en vue de l’égalisation temporaire des deux pressions atmosphériques, ceux qui se trouvent en difficulté dans l’air juste à la proximité, quand se produit un tel phénomène naturel peuvent entendre dans les casques certains bruits bizarres ou des voix dans des langues inconnues de la surface extérieure de la Terre, celles-ci représentant les situations d’exception quand nous aussi on a pu les entendre ou on peut „les" entendre, sans aucune explication jusqu’à présent de la provenance de ces signaux, voix ou bruits bizarres.

La pyramide de Tepozteco a un emplacement extrêmement difficile, étant nécessaire de monter quelques centaines de marches abruptes, ce qui signifie que la raison de sa construction seulement dans ce lieu et non dans un autre, plus accessible, a eu son importance. Actuellement ces positions sont choisies seulement aux stations relais de radio et télévision.

Tepozteco signifie „lieu de la pierre en métal” et est, probablement une allusion au voisinage avec une colline couverte entièrement avec du fer météoritique, situé au Jiquipilco. Mais le symbole aztèque pour le „lieu de la pierre en métal” est au moins surprenant, car il ressemble plutôt à un entonnoir d’un gramophone qui sort d’un dôme, tout très suggestif et bien dessiné. De plus, à Tepozteco, sur la colline Jocotitlan, a été trouvé une dalle gigantesque, dont la surface est si bien travaillée, de sorte qu’elle brille comme un miroir. Les habitants la nomment „Pierre Vierge” et elle se dirige vers le ciel.

COMMENTAIRE;

Dans ce lieu il s’agit probablement d’une véritable antenne parabolique construite judicieusement et économique tenant compte des conditions naturelles du lieu, l’intervention artificielle résidant dans la nivellement et lissage de la surface parabolique respective et la dalle respective polie jouant en même temps le rôle de trace artificielle de l’existence des êtres intelligents sur cette Terre à ce temps-là (marquage supplémentaire par des réflexions lumineux au miroir).

            En 1949, Alberto Ruz Lhuilier, professeur à l’Université Nationale Autonome de Mexico, a commencé à Palenque une action qui a fini trois ans plus tard avec une remarquable découverte archéologique. En observant que, par rapport aux parements d’autres temples de Palenque, celle de la pyramide qu’il examinait était couverte avec des dalles parfaitement travaillées. Le professeur a trouvé dans l’une d’entre elles 12 trous bien bouchés avec des bouchons en pierre.

Après quelques jours d’effort, les travailleurs ont réussi à enlever les dalles et sous elle ils ont découvert un escalier qui descendait dans les profondeurs, en grande partie colmatée avec des tonnes de pierre et argile. Pour le nettoyage des 21 marches deux ans de travail ont été nécessaires, de sorte qu’à peine en 1951 les puits de ventilations ont été complètement dégagés, ce qui a permis la reprise de l’activité.

            A 16 mètres de profondeur, la marche finit et commença un couloir. Le mur fait de pierres collées avec du mortier qui barrait le chemin a été lui aussi enlevé, mais il se prolongeait avec un mur épais de quatre mètres et une plaque immense en pierre. Le 15 juin 1952, Ruz a pénétré pour la première fois dans la crypte cachée 25 mètres sous la terre.

            A part les stalactites qui descendaient du plafond comme une cortine, il a observé un monolithe en pierre qui occupait la plus grande partie du plancher. La pièce était assez large (9 mètres longueur x 4 mètres largeur x 7 mètres hauteur), mais à cause des dimensions de la plaque (3,8 m longueur x 2,2 m largeur x 25 cm hauteur et 5 tonnes épaisseur) qui s’appuyait sur un piédestal d’approximativement 20 tonnes, a été difficilement à soulever. Après que l’opération a été conclue, dans le sarcophage en pierre ont été découvertes les dépouilles d’un individu, mort probablement en 692 après Jésus Christ.

Le mort était, en comparaison avec les autres indiens, très haut (1.73 m). Les richesses trouvées dans la crypte, dans le sarcophage et sur le squelette ont provoqué, surprenant, beaucoup moins de disputes que ceux qui étaient sculpté sur les côtés et la surface du capot en pierre. La gravure, très bien exécutée et conservée, ne figure autre chose, conformément à l’opinion générale, que la représentation humaine.

Il existe aussi certaines interprétations qui soutiennent que l’image constitue l’esquisse d’un véhicule volant, ce point de vu étant appuyé par la frise avec une signification astronomique se trouvant sur les cotés du couvercle.

COMMENTAIRE;

            Il est assez évident que la technique du VIème siècle ne permettait pas la manœuvre au sous-sol de ces poids, d’autant plus que le squelette découvert est différent comme hauteur aussi de la population aborigène s’agissant plutôt d’un individu qui a appris beaucoup de choses à la population aborigène en leur partageant une partie de ses connaissances accumulées chez lui „à la maison” de la surface intérieure de la Terre – ou d’un autre corps céleste d’où il est venu.

   Proche de la capitale équatorienne Quito se trouve une montagne artificielle, dont le nom est Panecillo. Dès que la capitale nordique de l’empire inca a été conquise et incendiée par les Espagnols, sur Panecillo on a fait des nombreuses fouilles à cause des bruits concernant l’or, l’argent et les pierres précieuses des Incas cachées la-dedans.

Ces dernières années, suite aux études de stratigraphie, qui ont constaté l’absence des couches, il est évident que Panecillo n’est autre chose qu’un monticule géant, construite depuis si longtemps avant les Incas, de sorte qu’il n’y a ni même une seule légende liée à cela. Les excavations effectuées sur le sommet du monticule ont fait ressortir une construction bizarre en forme de ruche d’abeilles, qui avait les traits d’un convertisseur Bessemer. Tout au long de deux Amériques, plusieurs sortes de collines et aspres qui ont été identifiées seulement ce dernier temps comme étant des pyramides ou des monticules construits par les hommes.

COMMENTAIRE

            Au long du temps les civilisations qui se sont succédées sur la Terre ont voulu d’abord signaler leur présence dans un mode ou autre, présence qui est aussi sur la surface intérieure habitable par des constructions artificielles placées sur la surface extérieure de la Terre sous la forme des pyramides même si elles n’ont pas pu être construites nécessairement par de grands blocs en pierre.

Ils ont considéré important pour eux à ce moment-là de signaler de loin et le plus symbolique, d’offrir des indices suffisants "d’un seul coin d’œil" par la représentation proportionnelle rendue d’une façon suggestive par la valeur des ongles d’inclinaison des bordures, par la grandeur des côtés et la hauteur, par l’orientation des bordures en rapport avec les points cardinaux, - laquelle est la configuration des voies d’accès par le souterrain vers la surface intérieure habitable de la Terre à ce temps là.

            Si on insiste, on fait une analyse théorique et nous pensons pour quelles raisons on n’a pas choisi pour les constructions respectives comme repères („balises”) de signalisation des voies de communication directe par le souterrain d’autres formes de figures géométriques comme serait par exemple des figures géométriques de forme cubique, parallélépipédique, conique ou cylindrique, on constatera immédiatement que la seule forme extérieure qui peut suggérer le plus d’éléments liés à la configuration et la structure des voies de communications par le souterrain est la forme de pyramide carrée parce qu’elle est la seule figure qui peut rendre et suggérer d’une façon symbolique (d’un seul coup d’un objet volant) valeurs des ongles d’inclinaison des tracées, direction de déplacement, pentes de décentes, distances, valeurs des sections minimums de passage, les directions des tracées respectives en rapport avec les points cardinaux, etc.

            De ce qu’on a noté plus haut, on comprend pourquoi toutes les civilisations qui se sont succédées au fur du temps et qui étaient arrivées à un stade de développement et de connaissance de manière à savoir avec une certaine précision laquelle est la configuration réelle de la Terre avec ses deux surfaces habitables, ont opté de construire des voies de communication plus directes par des tunnels souterrains.

            Plus dessous je me limiterai à faire le commentaire du texte tel comme il a été rédigé comme suit;

            Entre les 80 pyramides égyptiennes, trois ont gagné un renommé spécial, grâce à leurs dimensions hors du commun : L’Horizon de Kheops, Grand est Kefren et Divin est Mikerinos. Une caractéristique remarquable des trois grandes pyramides est non seulement leur ressemblance, mais aussi l’architecture intérieure identique, au moins en ce qui concerne le couloir descendant et la chambre souterraine.

La seule de sept merveilles du monde qui a demeuré jusqu’à nos jours, la pyramide de Kheops, a été soulevée, conformément à la majorité des appréciations modernes, entre les années 3000-2800 av. Jésus-Christ, elle aurait le vénérable âge de 50 siècles.

Même dans ces conditions, il y a 2000 ans, les pyramides pouvaient être considérées déjà antiques. La plus grande entre elles n’est pas, pourtant la plus ancienne. Dans la zone ont été enregistrés approximativement 40 monuments semblables, pendant que dans l’entier Egypte et au Soudan existe environ 180. La pyramide Djoser est plus ancienne d’un siècle que la Grande Pyramide, pendant que la construction de Niuserre est avec deux cents ans plus récente. Intéressant est le fait que les plus grands et beaux édifices semblent être érigés dans un intervalle de maximum 100 ans.

Si on se tient à la tradition copte, conformément à laquelle la Pyramide de Kheops a été édifiée avec 300 ans avant le Déluge, on peut apprécier qu’elle date depuis 11.000 ans. Le texte de l’écrivain copte Masoudi (mort en 975 avant Jésus-Christ), dont le manuscrit, nommé Akbar – Ezzeman, trouvé à Oxford, souligne : „Suridi l’un des rois de l’Egypte avant le déluge, a construit les deux grandes pyramides. Il a ordonné, aussi, aux prêtres d’y déposer l’entière sagesse et l’ensemble de leurs connaissances dans des arts et sciences, en même temps que les sciences arithmétiques et géométriques, de sorte que celles-ci demeurent comme témoignage pour le bénéfice de ceux qui, avec le temps, pourront les comprendre.

Dans la pyramide orientale (celle de Kheops) ont été inscrites les sphères célestes et les figures représentant les étoiles et les planètes. Le roi a inscrit, aussi, la position des étoiles et leurs cycles et, en même temps, l’histoire et la chronique des temps révolus, des temps qui viendront et chacun des événements futurs qui se produiront en Egypte.          De nos jours, l’historien arabe Abou-Zeyd-el-Balkhy a soutenu l’hypothèse d’un âge de 73.000 ans. Il s’est basé sur l’évaluation des traductions en arabe des inscriptions creusées sur les plaques qui, d’après ce qu’on connaît, couvraient auparavant l’édifice, les textes respectives indiquant le fait que les travaux ont commencé quand la constellation Lyre se trouvait sous le signe du Cancer. Abd-al-Latif (écrivain arabe du XIIIème siècle) mentionne dans ses mémoires que les signes hiéroglyphiques qui couvraient la pyramide "sont si nombreux, que, si on se mettait à copier sur le papier, seulement ce qui est écrit sur la surface de ces deux grandes pyramides (Kheops şi Khefren) on remplirait plus de 6000 pages".

Ses affirmations concordent avec les inscriptions d’Hérodote, qui a mentionné qu’elles fournissaient des informations détaillées sur le mode de construction de l’édifice.

Toujours Abd-al-Latif rappelle dans ses écrits du fait qu’en 1169, le sultan Melik-al-Azis Otman-ben-Iusuf a donné un ordre que les pyramides soient détruites.

            Après huit mois de travaux ininterrompus, au cours desquels de grosses sommes ont été dépensés, le sultan a du renoncé. A la fin, la Pyramide Rouge n’apparaissait qu’un peu égratignée. Malheureusement, jusqu’à présent, en dépit des efforts faits par les archéologues, on n’a même pas découvert un seul fragment des fameuses plaques, et la chance de réussir dans une telle recherche est minimale.

Les tablettes, dans leur totalité, ont été utilisées à la reconstruction de la ville Caire, difficilement touché par un tremblement de terre, arrivé, par une bizarre coïncidence, très peu de temps qu’Abd-al-Latif a noté son observation.

COMMENTAIRE;

Il est très évident que ces grands édifices ont été utilisés pour indiquer en même temps d’autres données et qu’il soit un témoignage dans le temps pour les générations à venir, logiquement ils ont été désignés comme des „bases des données” qui résisteront le plus longtemps possible, comme témoignage que les civilisations passées ont voulu comme on le veut nous aussi de marquer la présence de notre existence éphémère comme des êtres doués avec la raison sur cette grande et merveilleuse Terre et que les civilisations respectives ont connu d’abord la configuration réelle de la Terre qui est en réalité vide et illuminé sur sa surface intérieure du même Soleil.

Le fait que ces „bases de données” ont emmagasiné un nombre très grand d’informations dans tous les domaines d’activité peuvent nous faire penser qu’en fait nous sommes les héritiers (de ce qui est resté) des civilisations formées de races d’hommes ayant la couleur de la peau différente mais qui à un certain moment étaient arrivées à un stade de développement très avancé. J’affirme cela parce qu’au stade de développement atteint par nous maintenant, si on commençait à ériger un tel édifice par exemple ou de creuser des galeries souterraines „parmi” certaines agglomérations de matière de densités différentes de sorte que la résultante des forces d’attraction gravitationnelle zonale influence dans un certain mode la circulation par ces tunnels, je crois que pour l’instant „nos ordinateurs” seront fatigués.

De ce point de vue il s’avérerait nécessaire de se rendre compte combien importante est cet héritage légué par nos „prédécesseurs” et de savoir comment utiliser pacifiquement ce bien commun, étant donné qu’au cas contraire on pourra attirer à chaque seconde de notre existence la colère de la divinité qui peut nous abandonner et peut nous anéantir à chaque seconde.

   La plus compliquée architecture intérieure, par la disposition complexe de l’espace, la représente la pyramide de Kheops.

Son intérieure, destinée à abriter (conformément à la théorie officielle) le corps du pharaon mort ou au moins simuler cela, présente certaines particularités surprenantes : il est prévu avec deux bouches de ventilation, qui communique au nord et au sud, bien que leur réalisation ait soulevé des sérieux problèmes aux constructeurs.

L’ancien nom de la pyramide Yekhet - Khufu (ou, Yekhuet - Khufu, Ehet - Khufu) c’est à dire „l’Horizon du Khufu”. „La place de la splendeur du Khufu”.

Conformément aux informations laissées par Hérodote, la pyramide a demandé 20 ans d’effort, en temps que le chemin sur lequel on a transporté des blocs de pierre a été construit en 10 ans.

La Grande Pyramide, qui nous apparaît aujourd’hui, n’est pas la même avec celle que les antiques voyaient. En ce moment là elle était couverte sur ses quatre faces avec du calcaire fin, blanc, lisse, sans aspérités, qui reflétait le soleil avec un éclat sans pareil. Cela justifiait physiquement le nom que les vieux égyptiens l’ont donné à la Grande Pyramide : „Lumière”.

La pyramide de Kheops présente un système de galeries compliqué, composé en essence par trois niveaux : l’un à une grande profondeur situé à la base de la pyramide, le deuxième un peu sur elle et le troisième vers la moitié de la hauteur de la pyramide.

La pyramide de Kheops, qui occupe une surface de plus de 5 hectares, avait le côté de la base de 237,50 m et la hauteur de 147 m (aujourd’hui de 138 mètres) et fini avec un plat-forme de 6 m2.

COMMENTAIRE;

Il est très évident que les espaces de l’intérieur, la direction et la longueur des corridors n’ont pas été choisi au hasard et ce n’est pas le tombeau l’élément principal, celui-ci pouvant être placé dans les espaces construites bien auparavant, respectivement en même temps avec la projection et la construction de la pyramide et tout d’abord étroitement lié avec la configuration, les directions et les mesures de communications souterraines. La surface restée plane du sommet de la pyramide nous informe assez à mon avis sur les sections minimums de passage des tunnels souterrains.

Les 2.300.000 blocs géants, disposés en 220 rangés et ayant des masses comprises entre 2 et 50 tonnes, ont été taillés des carrières de pierre, polis, transportés et collés avec une précision millimétrique, là où la construction l’a exigée.

COMMENTAIRE;

Il est très difficile à supposer et admettre que les Egyptiens dans la période respective puissent toucher un stade de développement de la technique si haut qu’ils soient capables de couper et mélanger à une telle hauteur de grands blocs de pierre avec des „garnitures” de précision millimétrique, œuvre qui pour nous avec la technique d’aujourd’hui il nous est difficile de la réaliser même pour la construction d’un mur mineur de briques ou des plaques préfabriquées.

            Pour nous rendre compte qu’on regarde les garnitures (joints) qui restent ou sont restés de la construction des immeubles d’habitations construites par l’assemblage des plaques préfabriquées de béton, plaques qui pourtant ont été coulé automatiquement dans des moules avec la technique qu’on a atteinte jusqu’à présent.

Seulement en faisant cette banale et petite comparaison nous pouvons rendre compte consciemment et objectif à quel point de développement la technique était arrivée et les constructeurs qui ont bâti la pyramide respective.

Ces constatations selon moi devraient nous pousser à réfléchir le plus vite possible, mais qu’on réfléchisse d’une façon objective et logique et qu’on finisse une fois pour de bon avec les explications puériles avec leur logique enfantine (des contes avant de s’endormir).

Des avis du genre, „l’homme provient du singe mais en fait les singes continuent d’exister aujourd’hui aussi”, pour moi ces points de vue sont des avis qui à grande échelle nous retiennent de l’évolution et pratiquement étant au courant avec des tas des données et faits qui convergent vers ces „états” j’incline à ne pas partager le point de vue officiel en liaison avec l’évolution de l’homme.

En bref, dès le début du troisième millénaire et tenant compte des événements de la réalité environnante, il faut reconsidérer et analyser très objectif le nouveau rapport lié au stade de connaissance et d’évolution sur tous les plans et ne pas continuer à transmettre à nos descendants des informations temporaires erronées en liaison avec l’évolution de la civilisation contemporaine et de l’homme sur cette Terre.

En procédant ainsi, par une reconsidération et réévaluation des événements, on pourra faire et trouver plus facilement des points de liaison et des signes de la continuité dans l’évolution des civilisations passées, desquelles on a quoi apprendre afin de progresser, en mettant les bases du développement de la civilisation contemporaine qui pourra toucher des combles en civilisation et développement supérieur à toutes les civilisations qui ont existé, en apprenant tout d’abord de ne pas répéter les fautes qu’ils ont faites à un moment donné en réduisant et sous-estimant un danger qui peut venir à tout moment et de n’importe où et qu’avec toute la science et le progrès atteint, ils n’ont pas pu le percevoir ou le contrecarrer, plus probablement étant une punition de la Divinité.

L’entier édifice était couvert avec des dalles de calcaire blanc fin, et de nos jours on en retrouve quelques-unes à la base de la pyramide. La seule entrée se trouve sur le côté nordique, à une hauteur de 16,5 m. A ‘intérieur a été construit un vrai système des corridors, galeries et canaux de ventilation qui totalisent quelques centaines mètres en longueur, la galerie la plus longue ayant 47 mètres et étant située à une hauteur de 8,5 m. Un corridor en pente mène à la dite chambre funéraire, dans laquelle on retrouve aujourd’hui aussi le supposable sarcophage de Kheops.

Par rapport aux autres pyramides égyptiennes anciennes, la Grande Pyramide a des chambres et des corridors qui montent jusqu’en haut dans son intérieur. Une entrée juste en dessus de la base, au centre du côté nordique, mène jusqu’à un petit passage qui descend dans une chambre en roche, sous la pyramide.

A partir de ce passage part un autre, qui conduit en haut, d’abord à une petite chambre, nommée maintenant la Chambre de la Reine et après la Grande Galerie. Celle-ci est un corridor en pente, long de 47,5 m et haut de 8,5 m. La Grande Galerie, en échange, mène vers la chambre la plus spacieuse, la Chambre du Pharaon, qui contient le supposé sarcophage. Située au centre de la pyramide, la chambre funéraire du pharaon, longue de 10,5 m, large de 5 m et haute d’environ 6 m, est réalisé entièrement en granite, le plafond étant formé de 9 blocs, qui pèsent approximativement 400 tonnes.

De la galerie d’entrée s’ouvre un corridor qui descend en pente jusqu’à une profondeur de 31 m sous le niveau de la base de la pyramide, vers un puits dont la profondeur n’a pas pu être établie, fait qui vient à l’appui de l’hypothèse que cela constitue une entrée dans un système de galeries souterraines.

      COMMENTAIRE;

            Quand les hommes de science et les archéologues examineront avec des instruments appropriés où conduit ce puits, on commencera à comprendre qui a été en fait la plus importante prédétermination et le vrai but de la construction de la pyramide, on découvrira surtout les portes d’entrée dans les voies de communications souterraines construites par nos „prédécesseurs” qui connaissaient beaucoup sur la surface intérieure habitable de la Terre.

La chambre funéraire de la reine, les canaux d’aération, cinq espaces libre étagés, faits pour réduire la pression de la masse géante de pierre sur la voûte du caveau, complètent une surprenante œuvre de science et technique.

COMMENTAIRE;

      Il est très évident que les constructeurs et les projeteurs ont cherché des solutions techniques avantageuses et bon marché pour atteindre le but proposé, respectivement que la pyramide ait dès le stade de projet une hauteur très bien déterminée en trouvant d’une façon anticipée dès la projection des solutions techniques ingénieuses afin de faciliter et uniformiser les grandes pressions spécifiques pour calculer les espaces vides et les plafonds respectifs.

Même un débutant peut affirmer qu’on a devant nous une vraie construction comme une œuvre d’art de la science et la technique.

L’historien grec Hérodote a montré que la valeur exacte de la hauteur inclinée de la pyramide était égale avec la longueur d’un stade, c’est à dire six centimes d’un degré de latitude, pendant que Agatharchides de Cnidus (écrivain du IIème siècle avant Jésus-Christ) affirmait que la longueur d’un côté de la grande pyramide était d’un huitième d’une minute de latitude. Les passionnés par les mystères égyptiens ont découvert d’autres aspects mathématiques intéressants:

- les quatre sommets du carré de la base sont orientés, avec la même précision, vers les quatre points cardinaux;

COMMENTAIRE;

     Ce qu’on a mentionné, confirme indirectement que l’emplacement de la pyramide a été fait par rapport aux points cardinaux intentionnellement de sorte que les tracées des corridors, la hauteur, la valeur des ongles d’inclinaison, la surface plane du sommet, offre „d’un clin d’œil” des données de stricte nécessité et avec caractère général en liaison avec les voies de communications souterraines.

-         la hauteur de pyramide de Kheops, multipliée avec un milliard, est égale avec la distance approximative entre Terre-Soleil;

-         une fois établie le pouce pyramidale, on a observé que la somme des côtés de la base de la pyramide indique le nombre des jours d’une année (365,240 pouces);

-         un pouce pyramidale multiplié avec 108 est égal à approximativement la distance parcourue par la Terre sur son orbite autour du Soleil;

-         divisant le périmètre de la base au double de la hauteur on obtient le nombre transcendantal = 3,1416, et du rapport entre l’apothème (la hauteur triangulaire de la face de la pyramide) et à la moitié de la base résulte le nombre irrationnel F = 1,618 (le nombre de l’or); dans les deux cas l’inclinaison des faces par rapport à l’horizontale est approximativement la même: 51o50'.

-         le méridien qui traverse la pyramide divise les continents et les océans en deux parties égales. Cette particularité nous fait penser, car les modifications que l’écorce terrestre a souffert les derniers 6.000 ans sont relativement mineurs, le contour des continents et alors leur surface, reste pratiquement la même.

Serait-il un indice que l’aspect de l’entier globe terrestre était connu par les constructeurs du monument? Si c’est comme ça, les grandes taches blanches, qui se retrouvaient sur les cartes du monde il y a deux siècles, ne soulevaient aucune énigme pour les connaisseurs qui nous ont précédés il y a cinquante siècles.

Comme on le démontre Sorin Ştefănescu dans l’œuvre „Le Défi du Temps”, la parallèle qui traverse l’édifice (30o) couvre la plus grande étendue continentale, la longueur sur terre de toutes les autres étant sensiblement plus réduite. La position exacte de la pyramide n’est pas de 30o, mais de 29o58'51" latitude nordique.

COMMENTAIRE;

            On peut facilement se rendre compte que ces similitudes et proportions ne sont pas du tout au hasard car une logique élémentaire nous conduit à l’idée que si les anciens constructeurs ont été capables de projeter et de réaliser pratiquement un tel édifice, il va de soi et il ne faut plus s’étonner car en premier lieu ils connaissaient sûrement la vraie configuration de la Terre respectivement ils connaissaient avec une grande précision les formes de relief de la surface intérieure de la Terre en ce moment là qui sont restées presque les même jusqu’à nos jours.

„L’erreur”, au lieu de simplifier – le problème, la complique d’autant plus: à cause de la densité de l’atmosphère, un rayon de lumière provenant de l’espace cosmique est détourné de son chemin, de sorte que, du sol on ne verra pas l’emplacement réel de la source. Or, le calcul démontre que le milieu de la pyramide doit être théoriquement à 29o58'51" et 22 centimes. La constatation montre que les prêtres égyptiens maîtrisaient la physique, l’astronomie et la géographie au moins au niveau de l’époque moderne.

Aussi, la précision de la réalisation de la Grande Pyramide est extraordinaire, si on tient compte du fait que les dimensions du côté le plus long et le plus court différant seulement avec 20 cm, et le terrain qui se trouve autour est nivelé à moins de 2,5 cm. En plus, à une grande profondeur, à l’intérieur, les murs des galeries ont été peints en couleurs vives.

COMMENTAIRE;

A supposer que les prêtres égyptiens possédaient toutes les connaissances et ont été capables de projeter et après construire des pyramides et des galeries souterraines de centaines de kilomètres longueur est selon mon avis, une grave erreur faite par les hommes de science et les archéologues contemporains.

Tenant compte du fait que toutes les pyramides existantes à l’heure actuelle sur toute la surface de la Terre, n’ont pas un sommet proprement dit, mais elles finissent par une plate-forme de quelques mètres carrés en rappelant l’une des caractéristiques de l’effet de pyramide, présentée dans l’annexe 3, qui se réfère à l’existence d’un vortex énergétique émané de l’apex de la pyramide, qui augmente et se prolonge vers la hauteur, je dois remarqué le fait que les „pierres angulaires” des pyramides, qui étaient réalisées des différents métaux et étaient placées à leur sommet, avaient le rôle d’amplifier la radiation de l’énergie par la structure pyramidale.

COMMENTAIRE;

Personnellement, j’ignore l’existence de ces soi-disant „pierres angulaires” des différents métaux qui seraient mises sur la surface plane du sommet des pyramides.

En échange, en dehors de la signification qui peut suggérer les valeurs de certaines sections minimales de passage des voies de communication par le souterrain, il est très logique qu’à cause de certaines voies de communication souterraines comme les tunnels, les respectives pénétrations de la matière se trouvant entre la surface extérieure et la surface intérieure de la Terre, peuvent produire des perturbations dans les lignes du champ de force du magnétisme terrestre.

Ainsi peuvent apparaître des tendances d’apparition par la pénétration (déchirure) de deux pôles magnétiques presque superposés étant aux distances très petites rapportées à l’échelle planétaire, et dans ces points, à cause des interférences sur des distances très petites, les flux magnétiques dans certaines conditions (par exemple quand les portes d’entrée sont ouvertes) peuvent obtenir des valeurs très grandes sur l’unité de surface.

Dans ces conditions si artificiellement on met un objet métallique d’une certaine forme sur la surface plane du sommet de la pyramide, les effets et les phénomènes dans certaines conditions de stimulations par les catalyseurs, peuvent être très spectaculaires mais aussi dangereuses dans certaines conditions si on n’agit pas en parfaite connaissance de cause.

            Les puissantes interférences et les puissantes superpositions des flux magnétiques concentrées peuvent conduire sans doute aux distorsions dans l’espace et le temps mais comme on a mentionné dès le début, en ce qui concerne les phénomènes qui apparaissent et qui peuvent dépasser parfois les connaissances des lois de la physique connue je ne ferai pas allusion dans le contenu de ce livre pour la simple raison qu’ils n’ont pas été complètement étudiés et on n’a pas encore découvert ces lois et je ne désire pas à m’aventurer et commenter ces phénomènes encore insuffisamment étudiés et connus.

Pour s’édifier, toute personne qui connaît le rendement d’un moteur électrique par exemple, plus la distance entre le noyau bobiné du stator est plus petite par rapport au noyau bobiné du rotor, les lignes de force des champs électromagnétiques seront rompues sur un espace assez restreint et de cette manière le rendement serait plus grand, respectivement les pertes sous la forme de réchauffage des bobinages seront plus petites.

            Pour cela on doit tenir compte qu’au sommet de ces pyramides peut apparaître en plus, l’opportunité de l’exploitation contrôlée de l’énergie générée par le champ magnétique terrestre, énergie qui dans certaines conditions spécifiques peut être convertie local et transmise à la distance par l’effet de résonance des ondes de nature électromagnétique vers un récepteur qui se trouve même dans un objet volant projeté pour ce but, phénomène qui probablement a été très bien connu et valorisé, en tirant des bénéfices de cela.

Par exemple, après avoir établi qu’au cas d’une pyramide en carton de seulement 10 cm hauteur, le tourbillon énergétique respectif peut arriver à approximativement 2,40 m et à un diamètre d’environ 1,80 m, on a pu estimer que, en respectant les proportions au cas particulier de la Pyramide de Kheops, le vortex de celle-ci avait les dimensions de 3288 mètres hauteur et respectivement, 2466 mètres diamètre. Dans ce mode, les pyramides pouvaient fonctionner permanent comme des véritables balises aériennes pour les navettes de l’espace circumterrestre.

La puissante fascination créée par le mystère qui plane autour des pyramides a conduit à l’époque moderne même aux tentatives de déchiffrage des énigmes sur des voies apparemment parapsychologique.

Dans ce sens on peut rappeler les principales révélations faites par le médium Edgar Cayce : (18.03.1877-03.01.1945) et synthétisés par Jean Paul dans le livre „La Pyramide de Kheops”, au sujet de l’origine des pyramides de l’Egypte:

-         la période de la construction : 10.490-10.390 avant l’entrée du Prince de la Paix en Egypte, période qui coïncidait approximativement avec la date supposée de l’engloutissement de l’Atlantide;

-         Emplacement : si on examine les réseaux des lignes de force de la surface de la Terre, on observe que leur épicentre : - est très proche du lieu où est placé la Grande Pyramide;

-         La technique de construction : „par l’utilisation de ces forces de la nature qui permettent au fer de rendre les forces de l’ascension de ces gazes qui sont de plus en plus utilisés dans la civilisation actuelle”

Les initiateurs : Hermès et Ra ont repris le projet du Araraart et on a commencé la construction de ce qui est maintenant Giseh.

L’auteur du Corpus Hermeticum, Hermès Trismégiste, n’a pas été un génie provenu des Egyptiens, mais un initié d’une autre civilisation, incomparablement plus avancée, qui n’était pas intéressé à la croyance religieuse, mais par la connaissance en elle-même. Les mythologues soutiennent qu’il a inventé les hiéroglyphes et qu’il aurait appris aux Egyptiens les différences entre les langues. Cayce soutenait que l’Atlantide parlait une seule langue, comme, d’ailleurs, sur la Terre entière dans une certaine période de la préhistoire.

      - Durée des travaux : une centaine d’année, sous le règne d’Araaraart.

    Concernant les méthodes de transport qui ont été utilisées par les constructeurs des pyramides, il existe une série d’indices qui soutiennent la possibilité de l’utilisation des techniques, qui ont éliminé la plus part du travail physique proprement dit. Ainsi des nombreuses traditions affirment que, dans le passé lointain, les géants blocs de pierre d’où on a édifié les différentes constructions mégalithiques, se déplaçaient seules dans l’air, dirigées par les prêtres initiés. Ainsi, les légendes des anciens habitants de l’Amérique du Sud affirment que „à l’époque tous les hommes avaient le pouvoir de voler” et même „de grandes pierres étaient déplacées sans effort”, et en Egypte, les prêtres authentiques étaient reconnus d’après leur capacité de s’envoler. Conformément à Strabon, la performance pouvait être atteinte par des jeûnes tenus d’après certaines procédures, pendant que les lamas tibétains font appel à une sophistiqué méthode d’éducation et control du physique et du psychique humain.

Plinius, dans „Naturalis Historia”, relate sur l’architecte Dinocrates qui, par certaines méthodes, réussissait à tenir suspendu dans l’aire, dans le Temple d’Arsinoé, divers objets.

Aussi, dans le Temple de Serapis, proche d’Alexandre, les prêtres égyptiens soulevaient dans l’air de métal figurant le Soleil, mais Cassiodor parle d’un Cupidon de fer qui flottaient au temple Diane.

Sur le tombeau de Mahomet, on dit que de centaines d’année a été penché du plafond de la mosquée de Médine sans que quelque chose visible la soutienne.

Le prêtre Jean Leurechon, dans „Recréation mathématique” (Paris, 1626), nous assure que de ce son temps on connaissait une méthode de maintenir dans l’air divers corps, sans les lier avec quelque chose, tel comme les initiés antiques.

      Charles Piazzi Smyth, l’astronome royal de l’Ecosse, qui a vécu au XIXème siècle, a été un homme de science capable, mais aussi un passionné numérologue – caractéristique souvent rencontrée aux francs-maçons, - qui se développe par l’étude de la Cabale.

Ensemble avec son maître dans l’archéologie, l’éditeur anglais John Taylor, Smyth était convaincu que le Grand Architecte avait projeté aussi la Grande Pyramide. Smyth a reconnu que les dimensions de la pyramide contenaient la vraie valeur du nombre, la longueur de l’année, la circonférence de la Terre et la distance jusqu’au Soleil.

COMMENTAIRES;

     Les explications offertes dans la dernière partie de ce texte sont en grande partie des simples suppositions et spéculations, des explications données sans connaître et accepter comme réelle l’actuelle configuration de la Terre comme étant comme beaucoup d’autres d’ailleurs un corps céleste vide à l’intérieur et avec une surface intérieure habitable et illuminée par le même Soleil.

Il ne faut pas négliger ce qu’on affirme dans les livres religieux où on affirme que "que la croyance véritable peut déplacer les montagnes" et pour ces considérations il est logique que dans l’univers visible existent des forces contrôlées intelligemment qu’on ne peut même pas soupçonner ou deviner, ces forces ont appartenues et appartiendront toujours à la Divinité, à une échelle si large et ample que même si le cerveau humain était activé pour fonctionner complètement, il ne pourra tout de même acquérir un niveau acceptable de compréhension de ces complexes actions et interactions entre la matière et l’énergie et l’inverse.